Le nouveau vice-président du Venezuela, Tareck El Aissami, a averti jeudi que la droite de l'Assemblée Nationale prétend imposer un discours de non respect de la Constitution. Il a condamné le fait que le Parlement ait fait prêter serment à une nouvelle direction bien qu'elle soit dans l'illégalité pour en pas avoir respecté la sentence du Tribunal Suprême de Justice (TSJ) qui ordonnait l'exclusion de 3 députés de l'état d'Amazonas dont l'élection avait été contestée. Le problème n'a pas encore été résolu.
Des porte-paroles de la Table de l'Unité Démocratique (MUD) se sont engagés il y a 2 mois, lors du dialogue avec le Gouvernement de Nicolás Maduro à résoudre le problème de l'illégalité de l'Assemblée Nationale composée en majorité par la droite.
« Nous n'en attendions pas moins de la part d'une droite lamentable, raciste et anti-populaire. Vous êtes le même désastre que dans le passé, en pire, transformé en corruption, » a écrit le vice-président sur Twitter.
Malgré les attaques de la droite contre la Constitution, El Aissami a assuré que le Gouvernement Bolivarien continuera à travailler à la « construction d'une Patrie libre où règne la justice sociale et le prospérité pour tous. »
traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos
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