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VENEZUELA : CONFÉRENCE DE PRESSE DONNÉE PAR NICOLAS MADURO, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE BOLIVARIENNE DU VENEZUELA (2° PARTIE)

Cette campagne a plusieurs épicentres, l'un d'entre eux est Madrid. Madrid. Il semble qu'elle est ancrée profondément dans les élites, dans les oligarchies d'Espagne qu'il y a 200 ans nos grand-parents, avec Bolívar à leur tête, ont renvoyés à la pointe des baïonnettes, les pauvres de la terre qui d' Apure, de Portuguesa, de Cumaná, de Caracas jusqu'à Ayacucho, les ont expulsés.

Cela est ancré profondément dans l'histoire de ces oligarchies et elles n'oublient pas, nommer seulement Simón Bolívar les terrorise, entendre ce nom les terrorise, c'est comme montrer un crucifix à un vampire. Ceci est notre crucifix, l'idéal bolivarien, l'image de Bolívar.

Nous avons observé, dénoncé toutes ces campagnes. Par exemple, remarquez, hier, le portail d'un journal espagnol – je salue tous les journalistes des médias internationaux, les journalistes des médias nationaux présents, bienvenue. Je salue aussi les invités spéciaux, la première combattante, le docteur Jorge Rodríguez, la Chancelière, le chef du Bloc de la Patrie Héctor Rodríguez Castro, le général en chef Vladimir Padrino López, cher frère, les députés présents, Víctor Claro, Elvis Amoroso, le camarade Ministre de la Culture, le Vice-président de la Planification, le chef du Gouvernement de Caracas, tous les cameraman, les techniciens – remarquez cette campagne, on pourrait se demander quelles raisons elle a d'exister. Elle est là, regardez la couverture du journal ABC d'Espagne d'hier. Je crois qu'il n'y a pas un journal du Venezuela qui sorte une photo aussi bonne que celle-là en couverture. Il n'y a pas un journal du Venezuela qui sorte une photo de moi en couverture, c'est interdit. Dans ABC, c'est constant, je crois que que je me lance dans les élections du 26 juin et je balaie, je gagne parce qu'ils me montrent à la télévision, dans la presse, c'est une obsession, c'est une obsession ! Avez-vous vu « Obsession Fatale » ? C'est une obsession fatale qu'ont les oligarchies et le fascisme espagnol. Regardez, ils disent : « Les Etats-Unis prévoient que Maduro ne terminera pas son mandat. Le Président vénézuélien de moins en moins soutenu à l'intérieur du régime prend des mesures désespérées pour garder le pouvoir ». ABC, lundi 16.

Vous ouvrez ABC et là se trouvent des tas de choses, je ne sais combien de choses pourraient s'y trouver, je les ai là. Vous ouvrez ABC et vous trouvez : « Le New York Times consacre son éditorial au Maduro maniaque et incapable et à ses délires de la conspiration » et une photo l'accompagne où j'apparais, moi, comme un maniaque et un fou. Cela fait partie de la manipulation, y compris l'illustration, non ?

ABC d'Espagne: “Maduro ordonne de prendre les entreprises qui ont arrêté leur production ». « Prendre ». C'est clair, le peuple vénézuélien peut tirer ses conclusions de toutes ces campagnes, elles sont brutales. Maintenant, il est difficile pour nous de nous défendre en Espagne parce que l'avalanche d'attaques par la radio, la presse, la télévision, tous les jours, est également brutale. Ils ont certains intérêts, pas vrai ? Certains disent que c'est un intérêt de politique intérieure parce qu'ils vont perdre les élections contre la gauche. Nous n'avons rien à voir avec cela, les acteurs politiques de chaque pays ont leur propre source, leur propre raison d'être.

Là, dans El País: « Urgence au Venezuela », un éditorial écrit par les patrons du journal. Je suis sûr qu'il a été écrit par un Vénézuélien chulo, multimillionnaire, qui vit là et je sais qui l'a écrit, une famille de chulos. Au Venezuela, vous savez ce qu'est un « chulo », pas vrai ? Je crois qu'on le dit aussi en Espagne. Qu'est-ce que c'est, des « chulos » ? Bon, des gens qui se sont installés dans des espèces de petits châteaux, vivent à Madrid dans des espèces de petits châteaux et obtiennent beaucoup d'argent, beaucoup d'argent. Faire la contre-révolution contre le Venezuela, faire de l'opposition depuis l'Espagne donne beaucoup d'argent parce qu'il y a beaucoup de ces stupides oligarques qui le donnent et le donnent et combien de comptes il aura ! Les organismes fiscaux espagnols qui sont très stricts pourraient contrôler les comptes de ces chulos, nous, nous pourrions leur indiquer certaines données. Ils vivent de la « chulerie » et engagent les meilleurs avocats de l'élite espagnole et les meilleurs groupes de lobbystes. Ils ne cessent pas une seconde ni à Madrid ni en Espagne de faire campagne contre leur propre patrie. Les noms, nous les donnerons, vous imaginez bien qui ils sont.

Alors, El País sort : « Urgence au Venezuela .

Maduro doit mettre fin à la charade populiste ». Cette révolution démocratique, qui s'est levée avec un beau processus constituant, qui a transformé la réalité économique, sociale, politique du Venezuela et qui a été la fondatrice de ces nouveaux organismes d'intégration qui ont transformé notre Amérique est une charade populiste pour le mépris raciste de là-bas d'El País et d'Espagne : « Maduro doit mettre fin à la charade populiste et laisser gouverner ceux qui ont été élus par le peuple. » Et qui a été élu par le peuple ? Sur 23 gouverneurs, la révolution a 20 gouverneurs, élus par qui ? Par la charade d' El País ? Et les maires ? Ah, parce qu'ils ont eu un triomphe de circonstance dans 20 élections, eux en ont gagné 2. Ainsi on crache contre la vérité d'un pays.

Là, j'ai le journal El Mundo, également d'hier lundi. Imaginez-vous dans un pays, un autre... ? J'imagine quelqu'un qui s'est levé, qui est arrivé au kiosque du coin de la rue où il vit, pour prendre l'autobus ou le métro et qui a acheté le journal El Mundo et dira : « Maduro exhibe son pouvoir militaire ». Qu'est-ce que c'est ? Ca attire l'attention, pas vrai ? Est-ce que l'Espagne n'a pas de problèmes ? Est-ce que l'Espagne n'a pas d'affaires intérieures ? Est-ce que l'Espagne n'a pas une campagne présidentielle ? Est-ce qu' El Mundo n'a pas découvert qu'il y avait d'autres sujets à traiter et nous offre ce titre effrayant : « Maduro exhibe son pouvoir militaire au milieu des dénonciations d'auto-coup d'Etat? » Ou que moi, je vais faire un coup d'Etat ? Ils sont capables de dire n'importe quoi : « Il ordonne des manœuvres avec de nouvelles armes pour renforcer l'état d'exception. L'armée est prête à affronter n'importe quelle situation, avertit-il ».

Est-ce que l'Espagne n'a pas de problèmes sociaux ? Est-ce qu’en Espagne, il n'y a pas de problèmes d'emploi, de stabilité du travail, de revenus ? Est-ce qu'en Espagne, il n'y a pas de problèmes de logement, de sécurité, de santé, d'éducation ou est-ce que l'Espagne est un paradis ? Et également hier, lundi 16 – je l'ai ici, on m'a amené les originaux, j'ai ici le journal El Mundo pour que vous voyiez, les originaux, voyons - « Daniel Lozano, Caracas… » Il est là, Daniel Lozano ? Il doit être en train de gagner des petits sous, Daniel. suite page 20. A la page 3, il dit : Editorial: Maduro conduit le Venezuela au bord de l'explosion sociale ». La même chose que disent les porte-paroles de l'extrême droite au Venezuela en menaçant notre pays.

Et à la page 20 de ce journal, il signale qu'étrangement... Regardez, ils mettent là une page entière, également écrite, elle suit la première, par Daniel Lozano: « Maduro exhibe ses muscles militaires : le Président du Venezuela mobilise les Forces Armées et achète des hélicoptères de combat et de chasse » - qui, bon, quand est-ce qu'ils arrivent ? (On rit) - « en pleine crise pour installer l'Etat d'Exception et faire face à l'opposition ».

Vous rendez-vous compte qu'ils sont en train de préparer le scénario qu'ils sont en train de préparer dans le monde, le même qu'avec Khadafi et un jour, ils vont dire : « Maduro a lancé les avions de chasse, les hélicoptères et les tanks pour assassiner l'opposition, il faut intervenir militairement au Venezuela. » C'est le même scénario, c'est très grave et je le dénonce devant le monde bon, devant le monde qui veut la paix.

Le Venezuela obtient la paix tous les jours et nous sommes prêts pour continuer à l'obtenir mais sur le Venezuela, on monte un scénario de violence pour justifier une intervention étrangère de caractère militaire. Ils croient que le moment est venu, après le coup d'Etat au Brésil et toute cette campagne internationale révèle des plans, des intentions, le profil psychologique qu'on cherche pour sensibiliser les gens dans le monde et si un jour, ils arrivent à ce qu'il se passe quelque chose au Venezuela, n'importe quelle sorte d'action violente, bon, avoir une justification comme ils l'ont fait le 11 avril 2002. Ils ont monté une embuscade contre le peuple et ensuite ils sont sortis, de l'Espagne même d',Aznar, dire que le Commandant Chávez avait massacré le peuple et justifier qu'il soit séquestré et qui sait s'ils n'allaient pas justifier avec cet argument que le Commandant Chávez aurait été assassiné sur son lieu réclusion ? C'est la façon d'agir de ces oligarchies, de cet empire.

J'ai là un autre journal, El País, un journal de droite, il a sorti une photo du V° anniversaire du XV-M et, d'abord, l'opposition dénonce aussi un sabotage de la part de Maduro: « Le gouvernement chaviste avertit qu'il ne permettra pas la tenue du référendum révocatoire contre le Président qu'organise le Parlement. Maolis Castro », avec des imprécisions, des mensonges.

« Le régime chaviste écarte la consultation contre Maduro et saluts des agents de l'interventionnisme de l'empire au Venezuela », un des couards qui sert d'agent à ces gens, qui a servi. Il y a assez de Wikileaks et de documents déclassifiés sur ce couard, le parasite du BMW, comme on l'appelle au Venezuela. Bon, et il est là, un travail permanent.

Et des médias nationaux ou, pour mieux dire, des médias qui émettent du pays, parce qu'ils ne sont pas nationaux, ils sont anti-nationaux, qui accompagnent toute cette campagne comme El Nacional. Regardez ce que met en titre El Nacional : The Washington Post: « Le Venezuela a désespérément besoin d'une intervention politique de l'étranger » disent les avocats, de l'aveu des parties, relevé de preuves,, c'est là : « Le Venezuela a désespérément besoin d'une intervention politique de l'étranger » publiée, elle est là ; cette page, nous l'avons sauvée, ils ne peuvent pas dire qu'ils ne l'ont pas publiée, attirant l'attention sur un titre de dizaines d'articles The Washington Post, The New York Times et de toute la presse du pouvoir états-unien. Ils disent que The New York Times est le Journal Officiel de la Maison Blanche et ils ne sont pas loin de la vérité. Ils disent que The New York Times est le Journal Officiel du pouvoir financier, ce pouvoir militaire, industriel, financier et médiatique qui, bien qu'il soit en décence, est capable de tout. Il est en décadence, en déclin historique, le pouvoir de l'empire mais il est capable de tout et, il y a à peine quelques semaines, le Président Barack Obama a ratifié le décret qui déclare que le Venezuela est une menace inhabituelle, extraordinaire contre les Etats-Unis. De nombreuses voix se sont élevés contre celui-ci. Unanimement, tous les gouvernements de l'UNASUR, tous les gouvernements de la CELAC, 120 gouvernements du Mouvement des Pays Non-Alignés, 143 gouvernements du G-77 plus la Chine et, bien, des déclarations d'intellectuels, de mouvements sociaux, politiques mais il n'en a pas tenu compte. Ils ne respectent pas l'opinion publique mondiale,ils ne respectent pas la souveraineté du peuple. Et le pire de tout, pour nous, compatriotes qui m'écoutez ici, au Venezuela, je dois appeler ces chaînes parce que la campagne s'est accrue.

Et je voyais les reporters juste avant de descendre et la campagne est totale. Je crois que les télévisions se rapprochent d'un point semblable à celui de 2002, elles s'en rapprochent, je les vois évoluer vers là, je les vois dans une campagne orchestrée , montée. Elles ont le même ordre du jour. J'ai un écran semblable à celui qu'a le docteur Jorge Rodríguez et là, j'ai vu toutes les télévisions et on les voit réaliser la même chose au millimètre près. Les 4 premières nouvelles des reporters privés ont été la même nouvelle à la même heure, une coordination et une efficacité que seul peut atteindre un grand pouvoir qui est derrière, faisant du chantage, soumettant, dominant. Heureusement que nous, nous apportons l'expérience de la bataille et de toute cette force que nous a donnée la défense de la vérité et d'un projet aussi beau que la Révolution Bolivarienne.

Si been que toute cette campagne a un centre, a un axe, l'axe Madrid-Miami-Washington mais elle a un centre de planification, d'exécution, d'ordres, de lobbys, de force, de financement. Ce centre est à Washington, toute cette campagne mondiale, tous les ambassadeurs des Etats-Unis d'Amérique du Nord dans le monde ont dans leurs priorités le lobby pour essayer de réunir contre le Venezuela et de nous causer des dommages, où il y a un ambassadeur.

Les pressions que les gouvernements d'Amérique Latine et des Caraïbes contre Venezuela ne souffrent aucune comparaison en 17 ans.

Je parle sans arrêt, reçois des envoyés spéciaux, bon, j'échange des communications secrètes par écrit avec des présidents, des premiers ministres de toute l' Amérique Latine et des Caraïbes et tous, et amis, bien que j'ai cessé d'être chancelier, dans toutes les chancelleries d'Amérique Latine et des Caraïbes et ils nous informent de l'activité très intense des ambassades des Etats-Unis qui font pression sur les chefs d'Etat, les chefs de gouvernement, poursuivant les chanceliers. C'est une attitude frénétique.

Certains disaient : « Non, le temps des coups d'Etat est terminé ». Pour un empire, il n'est jamais terminé, il n'est jamais terminé parce que leur objectif est de dominer, est de nous dominer. Leur objectif est de reprendre le pouvoir de domination qu'ils ont eu pendant tout le XX° siècle et ils l'ont perdu au XXI ° siècle et ce sera pour toujours parce que ce pays, ils ne pourront plus jamais le gouverner ni le dominer, ni l'empire états-unien ni aucune force impériale du monde. Plus jamais nous ne le permettrons !

Notre Amérique se prépare pour une nouvelle vague révolutionnaire des peuples et nous la verrons. Ces yeux verront cette nouvelle vague qui se lèvera avec plus de conscience, avec plus de force, avec plus de clarté. Cela se voit dans les rues des quartiers, des villes, des villages, des champs de l'Amérique, on voit la force qui va se lever pour une nouvelle vague et le Venezuela sera là, à l'avant-garde. Toujours, frères et sœurs, nous serons à l'avant-garde avec nos idées, avec notre morale, avec nos rêves, avec notre Bolívar, avec notre Chávez. Ils ne pourront pas ni à cette heure ni à aucune heure, avec cette révolution qui s'est levée maintenant avec toute leur force de l'histoire, des conspirations, des campagnes.

A cause de cela, nous avons organisé cette conférence de presse et je suis heureux que nous soyons connectés par Sky, par Périscope, pour entendre des opinions, des propositions.

Par exemple, avant d'entrer ici, ces notes nous sont arrivées – je ne vais pas m'étendre beaucoup – elles arrivaient de Bogotá, de Madrid, de Miami, ce qu'a été la campagne dans les 4 premiers mois de cette année, les sujets, c'est à : changement de gouvernement, crise économique, insécurité, violence, prisonniers politiques, confrontation des pouvoirs, etc...

Des informations négatives sur le Venezuela dans ces 3 villes : Bogotá, Madrid, Miami, 97%. Regardez, pendant ces 4 premiers mois dans la presse de ces villes avec l'influence qu'a Bogotá dans toute la Colombie, Madrid dans toute l'Espagne et Miami dans le miamérisme qui est grand, qui va au-delà de Miami. 1 315 informations sont sorties, 1 315 notes, des pages entières... Il n'y a pas un pays, il n'y a pas un sujet de ce propre pays ou de cette ville qui ait mérité plus de notes, plus d'informations, plus d'attention que le Venezuela. Cela est-il normal ? Non, c'est une campagne pour créer les conditions pour une agression massive contre notre patrie.

Sur ces 1 315 notes, seules 25 ont fait référence, par exemple, à l'Ordre du Jour Économique Bolivarien dont vous savez qu'il est le centre de notre attention. Si en une semaine, je fais 10 événements publics – normalement, il y a 10, 12, 15 événements – si j'en fais 10, 7 font partie de l'Ordre du Jour Économique Bolivarien.

Bon, sur les 1 315 notes d'information sur divers sujets, seuls 25 ont été sur l'Ordre du Jour Économique Bolivarien et sur ces 25, seulement 2 ont été des informations positives, c'est à dire que sur les 1 315 botes, seulement 2 ont été positives et parce qu'elles évoquant l'inauguration du téléphérique de Mérida. Bon, il est difficile de parler contre un téléphérique, encore moins si tu montres la photo qui est belle et si tu dis qu'il aété construit, que c'est le plus grand du monde, comment vas-tu au-dessus ? Certainement, ils diront : Non, cela fait partie du cirque que Maduro monte, qui a construit un téléphérique de 12,5 millions un œuvre pharaonique, un élément du crique pour que le peuple oublie les problèmes. Certainement, dans certaines de ces notes, ils intégreront cette sorte de commentaire permanent, de cette campagne sans limites, profitant de la haine contre le Venezuela, la haine parce que ce qui est favorisé, c'est la haine contre notre pays, on ne favorise pas autre chose.

Toute cette campagne mérite que nous, nous lancions une contre-offensive d'un nouveau type et moi, je lance un appel à tous les secteurs honnêtes, à tous les leaders, à ceux à qui parvient ce message du Venezuela : le Venezuela veut la paix, le Venezuela est un facteur clef de coopération et de stabilité du continent sud-américain, des Caraïbes, de l'Amérique Centrale. Le Venezuela a une diplomatie qui a pour axe central la construction de la paix avec l'égalité, la justice, l'intégration.

Le Venezuela a le droit de vivre, de croître, de se développer, d'affronter ses problèmes, de les surmonter et, depuis le Venezuela, nous lançons un appel à la solidarité mondiale des leaders, des mouvements sociaux, des présidents, des présidentes, des premiers ministres, des gouvernements du monde entier.

Au Venezuela se joue la paix de cette Amérique et est en train de se jouer l'avenir de notre propre indépendance en ce XXI° siècle.

Pour cette raison, depuis le Venezuela, nous exigeons que cesse la campagne mondiale de harcèlement, de menaces, la campagne médiatique de haine et de manipulation contre la vie noble d'un peuple qui ne fait que travailler, aimer sa terre et veut continuer d'aimer sa terre, sa patrie et son histoire. Que cessent les campagnes organisées depuis le Nord et organisées par des agents nationaux contre notre pays.


Publié le 20 Mai 2016 par Bolivar Infos

source en espagnol:

http://www.resumenlatinoamericano.org/2016/05/18/rueda-de-prensa-internacional-ofrecida-por-nicolas-maduro-presidente-de-la-republica-bolivariana-de-venezue

URL de cet article:

http://bolivarinfos.over-blog.com/2016/05/venezuela-conference-de-presse-donnee-par-nicolas-maduro-president-de-la-republique-bolivarienne-du-venezuela-2-partie.html

VENEZUELA : CONFÉRENCE DE PRESSE DONNÉE PAR NICOLAS MADURO, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE BOLIVARIENNE DU VENEZUELA (2° PARTIE)
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