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traduction Françoise Lopez
Caracas, 19 Nov. AVN.- Jeudi, la vice-présidente du Conseil National Electoral, Sandra Oblitas, a informé qu'après un contrôle de la campagne électorale concernant les élections législatives du 6 décembre, on a détecté des irrégularités dans les pièces de propagande de certains partis sur lesquelles sera ouverte une enquête administrative.
"La promotion de la violence contrevient à la Loi Organique des Procédés Electoraux. par conséquent, une enquête administrative a été ouverte et on a ordonné l'envoi au Procureur Général de la République et à la Commission Nationale des Télécommunications" de ces affaires, a-t-elle expliqué dans une conférence de presse diffusée par Venezolana de Televisión.
On a aussi analysé les cas de Cavidea y a l'Université Catholique Andrés Bello qui ont organisé une campagne politique sans être des organisations candidates aux élections législatives du 6 décembre. Pour cela, on leur a ordonné de retirer leurs publicités.
Oblitas a informé, de plus, qu'une enquête sur l'organisation politique Min Unidad a été ouverte pour utilisation de symboles faisant référence à d'autres partis, ce pourquoi on a ordonné le retrait des pièces de propagande diffusées avec ces caractéristiques.
De la même façon, le parti politique MAS a dénoncé l'utilisation d'éléments caractéristiques de son parti dans la campagne d'autres partis sans l'autorisation adéquate.
Lors de la conférence de presse, la directrice a rappelé aux médias qu'ils n'ont pas la possibilité de refuser de diffuser les publicités en alléguant des irrégularités dans les pièces car la détermination des irrégularités est de la responsabilité du CNE.
"Ils sont obligés, les médias, de mettre les publicités et il revient au CNE d'estimer les délits qui peuvent être présents et d'établir les enquêtes administratives correspondantes."
Oblitas, de plus, a appelé les médias à promouvoir équilibre de l'information dans l'octroi des espaces publicitaires de tous les partis politiques autorisés à faire campagne et a indiqué qu'après l'observation du processus de campagne, à 6 jours de son début, on a observé "avec une satisfaction progressive la conformité des temps de parole à la télévision" fixé à 3 minutes au plus par jour non cumulables par prestataire de service.
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